Vive Madame Lamarlère.
Quelque chose à changer dans ton regard Estelle,
Encore un coup du temps qui passe en coup de vent.
Tant de choses en fait n’ont plus l’air trop nouvelles
Sans doute un coup de vent qui vient pousser le temps.
Cela est naturel, la vie est ainsi faite.
Je t’ai vue naitre et faire une bien jolie fleur,
Alors soyons heureux de te voir enfin prête
A ce qu’un inconnu te visite le cœur.
Hier à la mairie j’ai rencontré ton père,
Nous avons discuté entre vieux compagnons.
Quand dans l’hôtel de ville arrive aussi ta mère,
Suivie par toi, venue pour l’administration.
Quelques fois la vie veut au grand complet nous mettre,
Ce samedi d’hier était de ces jours là,
Le monde est dépeuplé s’il nous manque un seul être (1).
Il nous manquait Céline et ta sœur arriva.
Bien sûr à la mairie on rencontre le maire
Toujours à discourir, dans les mains, des papiers.
Maintenant Caiola, s’écrira Lamarlère,
Puisque tu as dit « oui. » Et Vivent les mariés !
Fil2fer
Le 03/07/2011.
Quelque chose à changer dans ton regard Estelle,
Encore un coup du temps qui passe en coup de vent.
Tant de choses en fait n’ont plus l’air trop nouvelles
Sans doute un coup de vent qui vient pousser le temps.
Cela est naturel, la vie est ainsi faite.
Je t’ai vue naitre et faire une bien jolie fleur,
Alors soyons heureux de te voir enfin prête
A ce qu’un inconnu te visite le cœur.
Hier à la mairie j’ai rencontré ton père,
Nous avons discuté entre vieux compagnons.
Quand dans l’hôtel de ville arrive aussi ta mère,
Suivie par toi, venue pour l’administration.
Quelques fois la vie veut au grand complet nous mettre,
Ce samedi d’hier était de ces jours là,
Le monde est dépeuplé s’il nous manque un seul être (1).
Il nous manquait Céline et ta sœur arriva.
Bien sûr à la mairie on rencontre le maire
Toujours à discourir, dans les mains, des papiers.
Maintenant Caiola, s’écrira Lamarlère,
Puisque tu as dit « oui. » Et Vivent les mariés !
Fil2fer
Le 03/07/2011.
(A Estelle bien sûr, avec au cœur un pincement étrange).
(1) Une petite pensée pour Lamartine.
La première écriture disait :
Parfois la vie pose autour de soi qui on aime,
Ce samedi d’hier était de ces jours là,
Vous étiez tous les trois, manquait la quatrième
Alors, dans la mairie, ta sœur Céline entra.
(1) Une petite pensée pour Lamartine.
La première écriture disait :
Parfois la vie pose autour de soi qui on aime,
Ce samedi d’hier était de ces jours là,
Vous étiez tous les trois, manquait la quatrième
Alors, dans la mairie, ta sœur Céline entra.